La décision rendue aujourd’hui par le juge en chef Morawetz de la Cour supérieure de justice fournit des clarifications concernant les renseignements et documents de l’UL et sur ce que la vérificatrice générale  a droit de recevoir.

Le juge en chef a confirmé que la vérificatrice générale n’a pas le droit d’obtenir des renseignements confidentiels.

À part le problème étroit touchant les renseignements privilégiés, que le tribunal a maintenant déterminé que la Laurentienne n’est pas tenue de fournir, l’Université a coopéré avec la vérificatrice générale pour son enquête. La Laurentienne a autorisé et incité tout le personnel à participer aux entretiens avec la vérificatrice générale de l’Ontario à condition de ne fournir aucun renseignement confidentiel. Nous avons aussi accordé à son bureau l’accès direct à l’ensemble de notre base de données financières, à notre système d’inscription ainsi qu’à un volume substantiel d’autres documents non confidentiels couvrant de nombreuses décennies. Nous continuerons de lui fournir la documentation et les renseignements non confidentiels dont elle a besoin et a le droit d’obtenir aux fins de vérification.

L’Université Laurentienne est actuellement engagée dans un processus difficile et nécessaire de changement transformationnel. Alors que nous continuons le dur travail de restructuration, nous traversons un processus complexe, faisant entrer en jeu de nombreuses parties concernées, avec l’assistance de la contrôleuse nommée par le tribunal et sous la supervision directe de celui-ci. À la lumière du soutien de la province annoncé en décembre, nous sommes persuadés que l’Université Laurentienne émergera du processus entièrement restructurée, financièrement viable et renouvelée pour le long terme.